Myriam Vanlerberghe
«L'humanité s'est toujours battue pour vivre et non pour mourir » Diatala
Marleen Temmerman
Avec leur tête, que peuvent proposer ces femmes de pire pour tirer l’humain vers le bas et le faire considérer par la société comme du bétail que l’on euthanasie quand il ne devient plus rentable ? C'est à dire le diriger vers l’abattoir quand il a été assez engraissé par Big Pharma.
Comment peut-on en arriver à demander d’assassiner des enfants et des déments qui seraient considérés, soi-disant, comme perdus, alors qu’ils sont inaptes à comprendre, ce qu'est la mort, quand l’insouciance est leur premier moteur ? Mais surtout quand nous savons que la vie réserve bien des surprises, avec des rémissions totales, et qu’une nouvelle médecine alternative et douce permet de traiter différemment et de guérir avec de très grands succès les pires maladies. Contrairement à la médecine business qui, elle, non seulement ne cherche qu’à générer des profits, mais qui en plus tue le système immunitaire des malades tout en les abrutissant de drogues.
Dans de telles conditions comment ces patients-clients et leurs familles peuvent-ils être autonomes, aptes à penser, à chercher d’autres alternatives et à se transcender pour guérir ?
Cette médecine a révélé qu’elle condamnait plus souvent les malades à mourir en les soignant et que, faute de pouvoir les sauver, elle endoctrinait maintenant les familles pour qu‘elles acceptent ensuite la solution finale.
Il faut savoir que des millions de personnes meurent chaque année dans le monde pour avoir été soignées par la médecine allopathique, devenue majoritairement cupide, trop souvent iatrogène et inepte.
Les parents ou les familles ont donc eux-mêmes une part de responsabilité en baissant les bras, en subissant des dogmes et des théories non pertinentes, et en acceptant que des étrangers (en blouse blanche) décident qu’il est préférable par commodité d’exécuter leur proche.
Le Serment d’Hippocrate est ainsi totalement rompu et envoyé lui aussi ad patres. Sans parler des abus et des faux testaments qui seront rédigés pour faire éliminer un proche qui dérange. Les vrais cinglés et les vrais psychopathes sont en règle générale aux manettes, libres et ne sont jamais internés ; ne pas l'oublier.
Nous observons également que les personnes qui oeuvrent pour anéantir la grandeur humaine sont toujours des scientifiques, des médecins, des politiques et des élus. Et que très souvent, comme en Belgique, elles sont certainement des descendantes de prisonniers des camps de concentration, au regard de l'orthographe de leurs noms ici aussi, Vanlerberghe,Temmerman,Distelmans. Mais si elles haïssent sans doute les nazis, elles prônent pourtant exactement la même idéologie d’extermination qu’eux. C'est donc une insulte et une trahison suprêmes qui sont faites aux victimes mortes dans ces camps.
Dans une société progressiste, noble, juste, éthique et équilibrée, elles devraient être jugées et condamnées pour incitation aux meurtres. Mais on préfère juger et faire condamner ceux qui disent la vérité, ceux qui dénoncent et qui luttent contre tous les crimes et les exactions, ceux qui font de l’humour ou encore ceux qui comme le réalisateur Brett Ratner a été viré de la production des Oscars pour avoir dit « Les répétitions, c'est pour les tapettes ». Propos considérés comme homophobes.
L’euthanasie est la preuve flagrante que ce système médical et que ces soins sont un échec cuisant et total ; sinon l‘euthanasie en serait exclue. Il met également au grand jour son impuissance à soigner, et ce, malgré les billions d’€ dépensés soi-disant pour guérir et les dites avancées scientifiques.
Mais à qui profite cette manne du début à la fin du circuit ? Ce système démontre, preuves à l’appui, que ces profits vont au complexe chimico-pharmaceutique et à l’industrie médicale et, qu'ensuite, son ultime but est de parvenir à créer une race pure et une race hybridée grâce à la transgénèse, à l'insémination artificielle, au clonage, à la cyber génétique, aux greffes d‘organes et à la xénotransplantation ( implantation d‘organes d‘animaux dans le corps humain). Après une telle idéologie, raciale et eugéniste, que certains cessent de venir encore pleurer sur les crimes commis par les Nazis puisque nous leur emboîtons le pas !
Qu’enseignent ces personnes et ces lois ? Une fois de plus que l’humain ne serait qu’une pauvre créature impuissante, et que seuls quelques-uns de ses congénères élus seraient aptes à apporter une solution à sa détresse au lieu de lui apprendre à se connaître et à se battre contre lui-même pour vivre. Ainsi il reste un bon dominé, assisté, impuissant face à lui-même, sans libre arbitre, ignorant ses nombreux potentiels et ceux d'auto-guérison innés qu'il possède mais qui ont été ensevelis sous ses tonnes de croyances.
Ils apprennent aussi que la vieillesse est une maladie incurable alors qu’elle n’est qu’un processus normal d‘évolution et d’avancement en âge. Ils ignorent et cachent aussi volontairement que de très nombreuses personnes âgées et que de très nombreux centenaires sont en parfaite santé si elles ne tombent pas dans leurs griffes acérées.
La vieillesse n’est pas une fatalité n’offrant que la maladie ou la dégénérescence, mais si vous encodez cette croyance, comme une vérité inexorable, vous en subirez sa charge informationnelle et ses conséquences.
Mais le pire est que ces gens obligent les jeunes à intégrer qu’un jour ils deviendront eux aussi une charge inutile pour la société. Ils veulent qu’ils admettent petit à petit que, le moment venu, ils seront à leur tour exterminés, puisque devenus inutiles. Bande de pervers ! Et enfin ils décrètent à eux seuls qu’un dément n’aurait ni âme ni affects ni esprit, et qu’un enfant ne serait qu’un tas de viande avariée quand celui-ci ne correspond plus aux normes établies par ces eugénistes psychopathes.
Le National-zocialism d’Hitler a ouvert la voie pour créer une Race pure en exterminant les faibles, les vieux et les malades, et en favorisant la naissance en bocal d’un nouvel humain aux gènes présélectionnés. En Belgique et ailleurs, se sont toujours des socialistes qui exhortent à faire voter cette loi, et en France, François Hollande est favorable à l'euthanasie. Réveillez-vous !
Il aura fallu moins de quinze jours pour qu'une proposition de l'association « humaniste » belge (l'Association des libres penseurs humanistes) se traduise en proposition de loi. Elle sera présentée en ce mois de mai par deux sénatrices socialistes flamandes, Myriam Vanlerberghe et Marleen Temmerman sous la forme de deux textes de lois visant à légaliser l'euthanasie pour les mineurs d'une part, et pour les personnes en voie de devenir démentes et celles tombées dans un état d'inconscience permanent. L'initiative a été annoncée samedi dernier, à l'occasion d'un symposium organisé à Bruxelles pour marquer le dixième anniversaire de l'euthanasie en Belgique.
Plusieurs associations de libre-penseurs et de partisans de l'euthanasie entouraient à cette occasion le professeur Wim Distelmans, souvent cité sur ce blog : cet oncologue, spécialiste des soins palliatifs, est également l'un des grands promoteurs de l'euthanasie en Belgique.
Les socialistes belges ont annoncé une lutte acharnée pour obtenir l'adoption des propositions Vanlenberghe et Temmerman : ce sera, disent-ils, une « seconde révolution d'éthique ».
Il s'agit plutôt d'un lent mais inexorable glissement dans la logique de l'euthanasie légale : on vise à l'ouvrir progressivement à des enfants, des personnes privées de jugement, voire des personnes inconscientes, alors qu'au départ tout le monde assurait qu'elle était acceptable dans la mesure où elle serait pratiquée uniquement sur des personnes qui en feraient la demande en pleine possession de leurs moyens.
Bien sûr, les socialistes belges s'inspirent de l'exemple du voisin néerlandais où l'euthanasie des mineurs est autorisée avec l'accord des parents dès 12 ans et moyennant une simple consultation des parents dès 16 ans. L'euthanasie des personnes en voie de devenir démentes mais suffisamment en possession de leurs moyens est approuvée et s'étend depuis plusieurs années, tandis qu'en 2011 l'euthanasie d'une personne en phase plus avancée d'Alzheimer a été jugée conforme par l'ensemble des commissions d'évaluation.
La proposition belge relative aux mineurs propose de ne pas instaurer un âge minimum, au motif qu'il y a des enfants de 7 ou 10 ans qui sont assez « adultes » pour prendre une telle décision. L'euthanasie pourrait être pratiquée dès lors qu'il y aurait un « consensus » entre l'enfant, ses parents et l'équipe médicale. Ne seraient exclus que les enfants très jeunes qui ne sont pas en mesure de prendre des décisions en pleine connaissance de cause puisqu'il s'agit là d'une condition de l'euthanasie légale. On notera que la presse belge souligne que pour ces enfants, la question de l'administration de la fin de vie se pose autrement…
Pour les personnes démentes, la solution (finale) proposée par Marleen Temmerman, médecin, diffère également de la pratique néerlandaise. Elle suggère que les personnes en voie de devenir démentes puissent faire un testament de fin de vie applicable lorsqu'elles n'auraient plus cette possibilité de prendre la décision de demander la mort en pleine connaissance de cause. Et à cette fin elle propose que la durée de validité du testament de vie soit prolongée bien au-delà des cinq ans actuels.
Pour l'heure, ce sont les sénateurs wallons qui s'opposent de la manière la plus nette à la libéralisation de l'euthanasie. Le socialiste Philippe Mahoux estime ainsi qu'il est « impossible de déterminer juridiquement à quel moment une personne doit être considérée suffisamment démente pour appliquer son testament de vie antérieur ».
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L’arnaque de la médecine moderne