Un document très intéressant issu du bulletin d’Emmanuel Ratier (une personne généralement bien informée) démontre que le gouvernement Hollande-Ayrault est sujet à de nombreux « lobbies » discrets ou secrets : CV des membres du gouvernement au 16 mai 2012
J’ai résumé ce document par le tableau suivant (cliquer sur l’image pour l’agrandir) :
Naturellement, il s’agit là d’un tableau minimal, puisque certains cachent par exemple leur appartenance à la Franc-Maçonnerie, et Manuels Valls a participé lundi dernier à un dîner du Crif… mais à Marseille.
Ainsi, on apprend que 10 personnes de cet exécutif (y compris le Président de la République lui-même) font partie du très select club « Le Siècle », lieu de réunion confidentielle entre vrais « décideurs » : grands patrons, journalistes de renoms et politiciens de tous bords.
9 au moins (dont le Président de la République) émargent à la Franc-Maçonnerie, milieu tout aussi discret voire secret et où pourtant se décident bien des lois de la République. Si la Franc-Maçonnerie a longtemps défendu la laïcité, on ne peut nier la dérive de certaines loges, certaines totalement infiltrées par des anciens trotskistes, et d’autres mêlées à des affaires judiciaires en cours comme celle du Carlton de Lille. Quant à la complaisance de la Franc-Maçonnerie anti-catho avec l’islamisation, elle n’est plus à démontrer.
On apprendra que 3 ministres socialistes et François Hollande lui-même (le type qui veut faire la guerre à son « ennemi la finance internationale ») font partie de la très capitaliste « French American Foundation » et 3 du fameux groupe non moins internationaliste, mondialiste et financier « Bilderberg ». Où est l’intérêt de la France et des Français dans toutes ces officines occultes ?
François Hollande et au moins 2 de ses ministres ont participé au fameux « dîner du Crif » parisien. Qu’aurait-on dit s’ils avaient participé à un dîner (halal) du CFCM ou une soirée organisée par l’Eglise de France ? Tout clientélisme communautariste de ce genre est condamnable. Les élus ou ministres de la République n’ont pas à s’afficher en tant que tels à des réunions strictement religieuses ou communautaires.