Le massacre des Innocents. Cornelis van Haarlem (1562–1638) : Le massacre des Innocents. 1590. Huile sur toile, 245 × 358 cm. Amsterdam, Rijksmuseum
De jeunes hommes sont également peints en victime comme nous le voyons ci-dessus. Ce tableau est impressionnant par ces détails. Mais tous le sont et disent quelque chose de caché, de crypté. Les mêmes couleurs dominantes se retrouvent également sur tous.
Il est très possible que ce massacre évoque ainsi celui d'hommes, de femmes, de femmes enceintes, d'enfants, voire d'hermaphrodites, ou, comme je le disais, de femmes vierges qui mettaient encore au monde des enfants de cette manière, voire les deux derniers cas.
Comme pour certaines personnes, Jésus(Race) était un hermaphrodite. Mais en plus pour moi de toutes évidences il(s)étai(en)t né(s) par parthénogenèse, soit d'une vierge. Mais depuis cette découverte de ce massacre il pouvait être un véritable homme et non un hermaphrodite, soit de sang dit "divin".
Les juifs ensuite seront très pratiques pour dissimuler la vérité. Et ma théorie sur la mise en place du judaïsme à une époque récente - ici, semble se confirmer. Peut-être faudrait-il parfois aussi interpréter ces personnages comme ne faisant qu'un et à des âges différents. Il est également frappant de constater que sur la majorité des toiles, les hommes, qui sont censès représenter les bourreaux romains, sont totalement nus. Que doit-on comprendre ? Où est-ce à la gloire du mâle pour afficher sa virilté ?.
Cornelis van Haarlem (1562-1638) : le massacre des Innocents. 1591. Huile sur toile, 268 x 257 cm. Haarlem, Frans Hals Museum.
Le massacre des Innocents. Duccio di Buoninsegna (v. 1255-1319) : Opéra Sienne
Le massacre des Innocents. Hans Memling (v. 1440-1494) : Munich
Regardez le visage de celui qui représenterait soi-disant Hérode. Cette scène se passe sans doute à Constantinople. Le massacre des Innocents. Matteo-di-Giovanni (v. 1430-1495) : Sienne
Chapelle du massacre des saints Innocents Italie. Fresques de Fiamminghino (1590-98) Ci-dessus la robe de la femme est de l'époque du moyen-âge. C'est souvent le côté droit qui est transpercé. Massacre des Innocents. Vers 1230. Enluminure du Psautier dominicain de Strasbourg.
Les ventres sont aussi un message et cette toile montre de nombreux détails. Le massacre des Innocents Miniature du manuscrit allemand Shelfmark Add. 17687 B. Vers 1350. Londres, British Library.
Le massacre des Innocents. Kerald (Le Maître du Codex Egberti) dit de (980 - 993). Ici ceux qui sont censés représenter les enfants sont grands et comme enceints et les femmes aussi, sont-ils un seul personnage ?.
Le massacre des Innocents. Domenico Ghirlandajo (1449-1494) : Florence Ce thème avait une telle importance, il était tellement vif dans les esprits qu'il ne peut pas dater du premier siècle. Il pourrait donc s'être déroulé au début de l'Inquisition et sur une longue période.
Il ne faut pas oublier que l'imprimerie va permettre de créer ou de réécrire l'Histoire.
Ci-dessous. Nous voyons que les femmes sont aussi assassinées et que des hommes, qui ne sont pas soldats, participent au massacre. Mais il est difficile de concevoir que certaines de ces victimes ne se soient pas défendues.
Gustave Doré
la Bible Nouveau Testament
Massacre des Innocents
Le massacre des Innocents.Daniele de Volterra (1509-1566) : Florence
Voici un détail ci-dessus très curieux de la toile qui suit. L'homme est vêtue de sa peau, blanche jusqu'au bas ventre, et bleue ensuite, et il est comme tranché. Le membre coupé au niveau de son pénis est aussi étrange. Comme la jambe qui sort de la robe orange semble avoir des poils et être celle d'un homme, et deux lettres sont visibles sur le bras à droite de l'image. Cette homme ne peut que représenter une mutation, sans doute celle de la race bleue vers la blanche. Cet homme en plus n'est pas armé. En bas à gauche nous voyons dans les bras de sa mère une, ou un enfant, avec de la poitrine et à droite aussi ; ces détails ne sont pas anodins ni involontaires.
Ci-dessous clic image : Le massacre des innocents. Bas-relief du soubassement du portail de sud « de la Mère-Dieu » de la façade occidentale de la cathédrale Notre-Dame d’Amiens. 1220-1230.
Ci-dessous clic image : Sébastien Bourdon (1616-1671) : le massacre des Innocents. 1640ss. Huile sur toile, 126 x 177 cm. Saint-Pétersbourg, musée de l’Ermitage.
Ci-dessus. Le massacre des Innocents.Fresque du chœur de la basilique romane Saint-Martin d’Aime (Savoie). 1266-1300.
Ci-dessus nous voyons une femme portant une auréole.
Ci-dessous . Sébastien Bourdon (1616-1671) : le massacre des Innocents. 1640ss. Huile sur toile, 126 x 177 cm. Saint-Pétersbourg, musée de l’Ermitage.
Ci-dessous clic image, Hérode a un visage sur son genou : Massacre des Innocents, vers 1480, Matteo di Giovanni, (Naples, Musée de Capodimonte)
Ci-dessous. Léon Cogniet (1794-1880) : le massacre des Innocents. 1824. Rennes, Musée des Beaux Arts.
Ci-dessous Luca Giordano (1632-1705) : le massacre des Innocents. Vers 1700. Huile sur toile. Madrid, Museo del Prado