Probité et Humour : Les gagants de la semaine : N° 1 Brice Hortefeux 2 Brigitte Renaldi 3 BFM
Probité et Humour : Les gagants de la semaine : N° 1, Brice Hortefeux
Brice Hortefeux, qui était hier l'invité du Grand Jury, a démontré à quel point le mensonge régnait en Maître.
L'homme devrait toutefois changer de métier pour devenir comique car, si il a totalement sidéré ceux qui l'écoutaient, il les a aussi bien fait rire en voulant faire croire qu'il ne connaissait pas vraiment la société Bygmalion et encore moins son nom puisqu'il la nommera Pygmalion. C'est vrai, aussi, que Pig conviendrait mieux.
Brice Hortefeux ne manque donc pas d'humour. Mais là... sincèrement, il se fout du monde.
Toutefois cette hésitation ridicule n'est pas en sa faveur et encore moins en celle de Nicolas Sarkozy puisqu'elle démontre que la mauvaise foi règne chez eux. Il en ressort de facto que la vérité sur l'arnaque Bygmalion est un pieu enfoncé dans la chaussure des sarkozystes.
Quant au fait que les médias et les sarkozistes prétendent que Nicolas Sarkozy à la faveur de la majorité des adhérents, à 65%, pour la présidence de l’UMP, et qu’il devance les autres candidats dans les sondages d‘opinion, on se demande où ils sont encore aller sonder ces sondeurs inutiles et dangereux.
Sans doute ces sondages ont-ils autant de valeur que la probité de Jean-François Copé et autant d'authenticité que les fausses factures de Bygmalion.
La vérité est, qu’avant la présidentielle de 2007, l’UMP a effectivement( comme le PS) réussi à fédérer des centaines de milliers d‘adhérents. Toutefois, très rapidement, en constatant le comportement et les politiques de Nicolas Sarkozy une grande majorité à cesser de cotiser puis, avec les différentes affaires, et notamment celle du renflouement de 11M€ et celle des votes truqués, nombreux autres ont rendu leur carte. Au PS cela serait pire.
Les Adhérents dans les partis se comptabilisent en nombre d'adresses même si ceux-ci ne cotisent plus depuis belle lurette.
Les médias sont donc déjà entrain de préparer le duel qu’ils espèrent voir se dérouler en 2017 en faisant croire à l’Opinion que les électeurs ont déjà choisi leur candidat à droite.
Pourtant si Nicolas Sarkozy a perdu c'est bien aussi à cause des électeurs de droite qui ne voulaient plus de lui. Et après autant de casseroles au derrière, il semble impossible que les adhérents et les sympathisants veuillent le voir revenir. A moins qu'ils ne soient masochistes, voire idiots.
La reporter la rapporteuse d'Europe 1, Brigitte Renaldi, nous montre elle un des côtés sombres du métier de journaliste. La dame aurait été victime d'une violente agression commise par le service d'ordre de Jean-Marie Le Pen. Une sécurité qui était présente pour empêcher cette fournée de journaleux d'entrer dans l'hôtel de Nice.
Quand nous regardons la vidéo nous pouvons cependant nous dire : Mais ! N'aurait-elle pas été victme du même genre d'agression que la très très malhonnête et la très très mauvaise journaleuse Caroline Fourest lors de la manif pour tous ?
La première chose que nos constatons est l'hystérie des médias qui poussent sans aucune modération pour obtenir une photo ou une parole de Jean-Marie Le Pen. Il se peut, alors, que cette femme, qui est de petite taille, et qui n'est apparemment pas présente devant le service d'ordre ait été bousculée par ses propres confrères.
Si vous observez les membres du service d'ordre, leur place respective et la scène, non seulement cette femme n'est pas dans leur champ, mais nous voyons aussi qu'aucun des médias présents ne voit ni ne relève quelqu'un qui serait tombé à terre ; ni même personne dans les gens du FN. Or une femme à terre suscite l'intérêt.
Il est étrange, et disons le, même très étrange, qu'aucun des nombreux caméramans n'ait filmé une collègue qui soit blessée et choquée à terre. D'ailleurs lequel aurait laissé passer une telle occasion de taper sur le FN ? Aucun.
Cette dame, au physique fort sympathique, dira pourtant que : « Lorsque Jean-Marie Le Pen est sorti de sa voiture, on a tendu les micros, et les caméramans se sont approchés, le service d'ordre s'est jeté sur les journalistes avec une violence inouïe, comme dans une mêlée de rugby». Or nous voyons exactement l'inverse.
Elle affirmera qu'une autre journaliste de LCI a également été victime d'un coup de poing dans la poitrine. Quand même ! Qui est-elle, pourquoi ne pas s'identifier et pourquoi ne dépose-t-elle pas plainte ? Mystère et boulle de gomme ou mensonge.
«Terriblement choquée», elle a bénéficié, quand même, de cinq jours d'interruption de traitement de temps de travail et dit souffrir d'une " ENOOOOOOOORME contracture qui va des cervicales jusqu'en bas".
Euh ! Cette contracture ne partirait-elle pas plutôt du cerveau et ne serait-elle pas ancienne quand nous voyons son air épanouie ?
capture écran de l'article Le Figaro
Auprès de l'AFP, elle assure qu'elle ne serait jamais allée jusque à la plainte «si la violence n'avait pas atteint ce degré». Elle dit par ailleurs avoir fait une crise de tachycardie après la bousculade. Les gardes du corps du FN ne se seraient alors pas enquis de son état. «Vous n'avez rien à foutre ici» m'ont-ils dit».
Chacun constatera qu'elle dit à l'AFP bousculade et non agression et surtout qu'elle va très bien ainsi que son coeur.
Ce qu'elle dit dans la vidéo n'est pas très audible mais il semble qu'elle dise ceci : "Moi je vais.... je vais dire que je suis malade que j'ai fait de la tachycardie ".
On nous dit que cette femme est reporter, très bien. Oui mais alors !... Où ? Dans des crèches peut-être ? Il serait surpprenant qu'elle travaille ailleurs sinon elle aurait passé sa vie à gémir et à déposer plainte. Quoi qu'il en soit - surtout - il faut l'empêcher de se rendre dans les pays en conflit ou en guerre et une retraite anticipée lui serait salutaire.
Apparemment un des gardes du corps a ses lunettes qui seront cassées par une femme, donc par une journaliste (en fin de vidéo).
Une de nos grandes chaîne de Totale Désinformation, ici BFM TV, nous montre la qualité de son travail et comment elle procède pour manipuler ses interviews.
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